Semez le paysage de demain
Natura Loci est le distributeur officiel en Belgique de la firme Nüngesser. Celle-ci sélectionne et produit divers mélanges de semences de fleurs et de plantes adaptées à nos régions.
Natura Loci les a choisis pour leur qualité optimale :
Ces mélanges ne contiennent que des espèces sauvages et non pas des variétés « horticoles » qui seraient choisies pour leurs seules couleurs;
- Ils ont fait leurs preuves sur des périodes longues.
- Ils associent des semences sélectionnées et produites avec soin; sans traitement phytosanitaire ni désherbage chimique dans les champs de culture;
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Chaque mélange vendu par Natura Loci correspond à un besoin ou à un type de sol particulier ; il est composé avec précision par Nüngesser qui connait le monde de l’environnement : botanistes, écologues, responsables scientifiques de projet…
Avec un peu de patience, au fil des ans, parfois après quelques mois seulement, vous verrez émerger un couvert fleuri, subtil équilibre entre fleurs et graminées, qui mêlera l’agrément à la satisfaction de créer ou de restaurer un écosystème disparu.
Par leur composition et leur pérennité, ces mélanges sont adaptés à des objectifs de renaturation de sites paysagers (les près, les lisières, les bords d’eau, de routes, de voies ferrées, de chemins…, les parcs, les espaces urbains…) dans des conditionnements de 1 ou de 5 kg.
Natura Loci, pour les professionnels du jardin et les propriétaires de grands espaces… privés ou publics
Le nectar est le principal ingrédient du miel. Les fleurs qui le produisent sont dites « nectarifères » mais toutes ne sont pas accessibles aux abeilles.
Le mélange Sedamix Nectar ® a retenu les plus attrayantes parmi celles qui peuvent être butinées ; elles sont dites alors «mellifères ». Il contient, par exemple, la bourrache ou la belle phacélie, particulièrement appréciées. Mais il y a aussi d’anciennes fleurs messicoles comme le bleuet et le coquelicot. Ce dernier est plutôt « pollinifère » : le pollen, substance de la gelée royale, assure aux abeilles une nourriture directe et donc leur vitalité.
Le nectar est le principal ingrédient du miel. Les fleurs qui le produisent sont dites « nectarifères » mais toutes ne sont pas accessibles aux abeilles.
Le mélange Sedamix Nectar ® a retenu les plus attrayantes parmi celles qui peuvent être butinées ; elles sont dites alors «mellifères ». Il contient, par exemple, la bourrache ou la belle phacélie, particulièrement appréciées. Mais il y a aussi d’anciennes fleurs messicoles comme le bleuet et le coquelicot. Ce dernier est plutôt « pollinifère » : le pollen, substance de la gelée royale, assure aux abeilles une nourriture directe et donc leur vitalité.
Le nectar est le principal ingrédient du miel. Les fleurs qui le produisent sont dites « nectarifères » mais toutes ne sont pas accessibles aux abeilles.
Le mélange Sedamix Nectar ® a retenu les plus attrayantes parmi celles qui peuvent être butinées ; elles sont dites alors «mellifères ». Il contient, par exemple, la bourrache ou la belle phacélie, particulièrement appréciées. Mais il y a aussi d’anciennes fleurs messicoles comme le bleuet et le coquelicot. Ce dernier est plutôt « pollinifère » : le pollen, substance de la gelée royale, assure aux abeilles une nourriture directe et donc leur vitalité.
Le nectar est le principal ingrédient du miel. Les fleurs qui le produisent sont dites « nectarifères » mais toutes ne sont pas accessibles aux abeilles.
Le mélange Sedamix Nectar ® a retenu les plus attrayantes parmi celles qui peuvent être butinées ; elles sont dites alors «mellifères ». Il contient, par exemple, la bourrache ou la belle phacélie, particulièrement appréciées. Mais il y a aussi d’anciennes fleurs messicoles comme le bleuet et le coquelicot. Ce dernier est plutôt « pollinifère » : le pollen, substance de la gelée royale, assure aux abeilles une nourriture directe et donc leur vitalité.
Les insectes pollinisateurs sont essentiels à notre environnement ainsi qu’à certaines cultures. Or, ils subissent partout un déclin, particulièrement en Europe. En Wallonie, parmi un total de 347 espèces d’abeilles et bourdons connus, plus de la moitié sont rares, en très forte régression, voire même totalement disparues du pays*. On constate aussi, depuis 1999, un dépérissement de nombreuses ruches. Pour la moitié des cas, c’est à la mort de la ruche entière que l’apiculteur impuissant assiste. Les causes en sont encore mal connues et elles sont sans doute similaires à celles qui provoquent la disparition des abeilles sauvages. La situation actuelle de nos pollinisateurs est jugée très préoccupante, tant pour la survie à long terme de l’abeille domestique en Wallonie que pour celle de tous les pollinisateurs sauvages. Ce sont les abeilles sauvages qui compte le plus d’espèces protégées en Wallonie: 47 espèces contre 40 pour les papillons et 16 pour les guêpes. La moitié de nos espèces d’abeilles sauvages ont disparu ou sont en très forte régression en Belgique.
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Les abeilles dépendent entièrement des fleurs pour leur alimentation Les adultes consomment du nectar et les larves, végétariennes, se nourrissent de pollen enrichi de nectar. La plupart des abeilles se nourrissent d’une grande variété de fleurs, certaines se limitent à des fleurs d’une même famille, d’autres encore, rares en Wallonie, ne se nourrissent que d’un seul genre ou d’une seule espèce. Leur choix est surtout spécifique lorsqu’il s’agit de trouver le pollen. Quoi qu’il en soit une abeille ne butinera que des fleurs d’une même espèce lors de sa sortie. Pour se maintenir dans un biotope et développer une population importante, une abeille doit y trouver, des sources de nourriture abondantes et de qualité. Les abeilles solitaires ne font pas de réserves de miel. Par contre, les pains de pollen qu'elles déposent dans leur nid contiennent parfois une grande part de nectar. Or, elles ont besoin d’une grande variété de fleurs… - La diversité végétale permet de rencontrer les besoins de chaque espèce d’abeille. Les plantes qu’elles pollinisent présentent des adaptations qui attirent les insectes : des pétales de couleur vive, des parfums, du nectar. Il existe une relation entre la longueur de la langue d’une abeille et la longueur des corolles visitées pour le nectar. Cette diversité de nourriture contribue aussi à la bonne santé des abeilles en améliorant leur système immunitaire. - Une floraison longue et abondante qui assure, au fil des saisons, un maximum de nourriture. - Des floraisons précoces et tardives : en fin d’été et à l’automne, les dernières floraisons apportent aux abeilles des réserves essentielles, riches en sucres et en protéines, pour passer la période hivernale.
Mais comme dans un cercle vicieux…
Il y a quelques années, le gouvernement wallon a établi 6 causes principales au déclin des populations d’abeilles :
Il énonce donc des Méthodes agri-environnementales favorables (MAE) aux insectes butineurs
... gestion
Nos prairies fleuries sont généralement composées de plantes vivaces et annuelles ou bisannuelles. Cela signifie qu’elles évoluent au fil de la saison et qu’elles ont besoin de temps pour se développer et s’installer, parfois 2 ou 3 ans. La floraison dépend de différents facteurs : le type de sol, son humidité… mais aussi la période de semis, la fréquence et le moment de la fauche. Leur réussite passe donc par une mise en œuvre lente et un entretien adéquat.
Le semis d’un mélange de fleurs annuelles peut s’effectuer au printemps. Mais sa pérennité sera limitée : un an, et sur un sol pauvre, peut-être une deuxième floraison l’année suivante, ...
...et soins à apporter
Il doit être préparé, propre et désherbé, comme s’il s’agissait de semer un gazon : labouré, fraisé, travaillé à la herse, pour obtenir une terre finement structurée. Il faut aussi éradiquer toutes les herbes qui pourraient étouffer la germination puis la pérennité du semis. Les chardons, liserons, chiendents, plantes à racines longues en particulier. Des racines peuvent malgré tout rester dans le sol ; la technique du « faux semis » permettra de s’en débarrasser : laisser ces herbes pousser à 10 cm de hauteur, les éliminer, retravailler superficiellement le sol, puis éventuellement recommencer.
...de nos erreurs
Le manque de substrat qui permette aux graines de germer (le cas échéant, la surface peut être recouverte d’un ou deux centimètre de bonne terre végétale). L’érosion qui emporte le semis par lessivage L’apparition et l’invasion de mauvaises herbes…